Résumé : Ayant à affronter, avec Le Repas du lion, la réalité scénique du Théâtre-Antoine, Curel fut contraint de tenir compte de la réception mitigée du dernier acte de ce chef-d’œuvre d’un « théâtre d’idées ». Quelles sont les conséquences littéraires et spectaculaires des modifications apportées ?