Résumé : Les manuscrits de L’Hôtel du Libre-Échange, comparés à ceux d’Un fil à la patte et de La Dame de chez Maxim, montrent que Feydeau met à l’épreuve et s’approprie le dénouement vaudevillesque : il le retarde et l’accélère, le rend prévisible et surprenant, vraisemblable et incohérent, joyeux et amer.