Résumé : Comme il a été signalé par Horace dans sa célèbre formule Ut picturas poesis, il y a une relation inéluctable entre la littérature et la peinture, qui chercherait une réponse aux besoins du sujet. C’est le cas de Homme invisible à la fenêtre (2001) qui raconte les traumas d’un peintre paraplégique. Cet article montre la façon dont l’expression artistique permettra à l’artiste de surmonter ces traumas, l’art en tant que mécanisme de libération.