Résumé : Le rêve constitue un topos essentiel aux arts chinois. Il n’y a qu’en Chine que l’on revendique l’existence, en tant que telle, d’un jardin, inexistant dans sa matérialité, mais revendiqué parce que couché sur le papier, rouleau : rêvé. Notre terrain est constitué des deux œuvres magistrales, le cas échéant programmatiques en la matière : Le Rêve dans le pavillon rouge et Le Rêve dans le pavillon des pivoines.