Abstract: Cet essai propose un premier aperçu de la réception de l’auctorialité des chansons en ancien français à voix féminines d’après la tradition manuscrite. En effet, certaines familles textuelles de chansonniers semblent particulièrement réceptives à une paternité féminine, tandis que d’autres, au contraire, présentent des phénomènes de censure ou de réécriture.