Résumé : L’ouverture des archives militaires, les témoignages des victimes de la torture et les aveux des tortionnaires, la création d’une journée nationale consacrée aux Harkis et l’année de l’Algérie en France en 2003 exemplifient le bouillonnement autour de la question algérienne au tout début des années 2000. Dès les années 2000, la littérature et le cinéma commencent à inscrire les mémoires de groupes différents qui ne parviennent pas encore à se concilier.