Résumé : L’article propose deux lectures du Maître de Garamond d’Anne Cuneo (2002), informées par Michelet (1855) et par l’historiographie féministe de Joan Kelly (1976), pour montrer que le stéréotype romantique de la dame puissante et criminelle cède la place à une nouvelle topique de la perte d’agentivité des femmes.