Résumé : C’est paradoxalement parce qu’ils suggèrent l’existence de vérités réservées aux happy few que les romans de Dan Brown suscitent l’intérêt du public pour la Renaissance. Les œuvres de cette période y sont appréciées moins pour leur esthétique que pour l’efficacité de leurs dispositifs fondés sur l’idée de secrets à dévoiler.