Résumé :Le Cousin Pons peut se lire comme l’un des romans « profondément juridiques » de La Comédie humaine : parce que le Code civil y a une fonction structurante, et parce qu’il joue avec les codes de la chronique judiciaire. Cet article se propose donc d’étudier les modalités d’intrication du juridique, du discours judiciaire et du narratif, et les effets de cette imbrication, tant sur la poétique romanesque que sur le discours du droit dans le roman.