Résumé :Meurvin est connu par une version en prose éditée par Pierre Sergent (1539), puis par Nicolas Bonfons (c. 1586). Il procède d’un texte versifié prolongeant le remaniement en alexandrins de La Chevalerie Ogier. Meurvin aussi associe le merveilleux breton à l’univers épique, dont il conserve le cadre carolingien et la thématique de la croisade. Son originalité réside dans un glissement vers le fantastique, représenté par une histoire de magie noire et par le rôle du personnage de Mutafier.