Résumé : La critique se penche depuis longtemps sur les discours médicaux présents dans les textes littéraires (medical humanities), importante tendance des sciences humaines anglophones. L’œuvre de Rachilde se prête à ces approches critiques, relativement aux discours sur les pathologies sexuelles et en matière de genre articulés et mis en question par ses romans fin-de-siècle, qui persistent jusqu’à La Femme-Dieu (1934), riche en éléments constitutifs de l’objet des medical humanities.