Résumé : Les animaux occupent une place de choix chez Rachilde. C’est à eux que va sa préférence, sur la conviction de leur supériorité sur les hommes. À partir d’un corpus d’ouvrages à tendance autobiographique et de ses comptes rendus au Mercure de France, on se propose d’examiner le rapport de la romancière aux bêtes et les formes qu’il prend dans son écriture, avec une attention particulière pour les procédés techniques et pour la place que Rachilde se réserve à la limite du monde humain et animal.