Résumé : La survie à l’apocalypse-zombie dans la bande dessinée a une écriture particulière, des spécificités, mais elle met par ailleurs en scène des structures relationnelles classiques, notamment en ce qui concerne l’organisation de ses groupes de survivants ; l’eschatologie humaine, vers un futur monstrueux, consolide alors souvent une ordonnance familiale aux réflexes patrimoniaux.