Résumé : Figurent dans les Carmina Priapea des pièces liminaires qui rappellent les dédicaces de Catulle ou de Martial, et des poèmes votifs au dieu phallique qui exploitent le modèle de l’épigramme hellénistique. Le propos est de montrer l’articulation qui s’opère ainsi entre littérature, sacralité et obscénité.