Résumé : Les vingt-deux épîtres dédicatoires d’André Alciat montrent les allégeances politiques présidant au choix des dédicataires, ainsi que les stratégies rhétoriques relevant de la mise en scène de soi. La dédicace pseudo-allographe du De ponderibus et mensuris offre en outre un intéressant exemple de la construction du discours polémique.