Résumé : À l’époque moderne la conservation des archives des notaires n’a été ni systématique, ni aléatoire. Les États ont cherché, sinon à en conserver l’intégralité, du moins à en préserver l’essentiel de l’information. Mais souvent les praticiens gardaient ces papiers pour eux, et les transmettaient moyennant finance. À Paris, ils servirent même à la spéculation sur la valeur des charges de notaire.