Résumé : L’Oum-Rbia, second fleuve du Maroc par sa longueur, a inspiré des œuvres littéraires francophones, au cours des périodes coloniale et postcoloniale, dont la plus célèbre est peut-être La Mère du printemps de Driss Chraïbi. Il en est de même pour les villes et les sites que le cours d’eau traverse ou côtoie sur son parcours sinueux : Khénifra, la Kasbah de Boulaouane, Azemmour… dont les charmes et les rêves, historiques, religieux et philosophiques, peuvent nourrir un article de géopoésie.