Résumé : Élément naturel capable de détruire et/ou de bâtir un écosystème, l’eau configure une déclinaison possible de la ville dans l’écriture de l’extrême contemporain où la notion de liquide en amplifie les conditions d’instabilité. Il s’agit d’étudier les mécanismes de flux et de reflux – qui recréent l’urbain – pour mettre à l’épreuve du littéraire la notion de ville-fleuve et saisir ainsi la spécificité d’une écriture fluviale qui se ferait fractale pour dire la quête d’un espace durable.