Résumé : Est ici envisagée la possibilité que les lettrines qui rehaussent les copies manuscrites soient parfois une source de perturbation dans la transmission des textes du Moyen Âge. À l’aide d’exemples tirés de la tradition de l’Ovide moralisé et de celle de la Première continuation du Conte du Graal, l’auteur illustre plusieurs cas, dont le plus typique serait celui où la lettrine, placée au milieu d’un couplet, finit par brouiller les copistes.