Résumé : Malgré son charme et l’intérêt littéraire qu’il dégage, le court poème épique dénommé Mort Charlemagne demeure inédit, du fait de son état lamentable dans le seul témoin (acéphale) qui le conserve (Oxford, BL, Canonici it. 54). Démêler les facteurs de trouble et essayer de les situer sur l’axe vertical qui aboutit au manuscrit d’Oxford est le défrichage indispensable permettant d’amorcer la démarche éditoriale.