Résumé : Il s’agit de lire les portraits de la Trilogie de Jules Vallès à l’aune des autoportraits de Vingtras en s’appuyant notamment sur le dernier « autoportrait au miroir » du narrateur qui permet d’aborder rétrospectivement l’ensemble de l’œuvre romanesque. Vingtras, individu complexe, s’y dépeint précisément en parasite social tout en rappelant que certains insurgés, habités par le feu sacré de la révolte, brûlent et préparent les « rues en feu » de la Commune de Paris.