Résumé : La détention est toujours vécue comme une « parfaite solitude ». Les emprisonnements ont ménagé aux détenus un espace introspectif qui a nourri la littérature mémorielle et épistolaire. Comme l’incarcération a marqué l’expérience des individus, leurs textes ont marqué définitivement l’identité de Port-Royal