Résumé : S’il ne vient pas d’emblée à l’esprit d’inclure l’histoire dans la « spherique Enciclopedie » du Solitaire premier, cette grande discipline humaniste n’en a pas moins retenu Pontus de Tyard dans la seconde partie de sa carrière : quand, à la fin des années 1570, il s’engage dans la polémique historiographique autour de La Généalogie de Hugues Capet ; puis vers la fin de sa vie, quand en philologue féru d’onomastique, il examine les noms et surnoms royaux dans le De recta nominum impositione.