Résumé : Cet article examine la fortune de l’écrivain-journaliste qui incarne, au Québec, un certain idéal de polygraphie. Il s’appuie sur l’exemple du chroniqueur Berthelot Brunet (1901-1948) pour qui le journalisme, et plus généralement la polygraphie, était une façon d’exercer sa liberté d’écrivain.