Résumé : L’auteure examine, en vue de son édition critique, le recueil des Epigrammata latins de Politien réuni dans l’editio princeps des Opera omnia en considérant les variantes d’auteur et la disposition des poèmes et en discutant les choix de ses prédécesseurs. Elle conclut que, même s’il ne peut être démontré que la sélection de l’aldina est de Politien, dans la mesure où il s’agit de la plus vaste sélection historiquement donnée, celle-ci pourra constituer la base d’une édition moderne de l’œuvre.