Résumé : Si au xixe siècle la référence artistique est un topos du portrait, Balzac innove peut-être avec celui de Camille Maupin en recourant à ce que nous nommerons la référence muséale, procédé qui concourt à créer, par la sollicitation inédite de l’imagination qu’il provoque, une « augmentation descriptive » sur le modèle de « l’augmentation iconographique », principe de la totalisation esthétique défini par François Dagonet.