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Classiques Garnier

Table des incipit

  • Type de publication : Chapitre d’ouvrage
  • Ouvrage : Poésies
  • Pages : 615 à 623
  • Collection : Bibliothèque du xviie siècle, n° 16
  • Série : Voix poétiques, n° 4
  • Thème CLIL : 3439 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques -- Moderne (<1799)
  • EAN : 9782812420566
  • ISBN : 978-2-8124-2056-6
  • ISSN : 2258-0158
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-8124-2056-6.p.0615
  • Éditeur : Classiques Garnier
  • Mise en ligne : 19/05/2014
  • Langue : Français
615

TABLE DES INCIPIT 1

CHAULIEU

Abbé, dont le discours flatteur          XXV

Ah ! cessez, par vos vers, adorable Princesse            XXI

À la tendre jeunesse      CXXVI

Amour, qu’injustement j’ai blâmé ton empire           LXX

Après de longs soupirs, j’ai fléchi ma Climène     LXXVII

Après un rude Hiver le Printemps nous redonne        CXXII

Argentina ferox, et longa pace tumescens           LXII

Au bon vieux temps, où le gentil Ésope          XVIII

Au plus docte, au plus gracieux               LI

Autant et plus que sa vie        CXLVI

Autrefois l’Amour vainqueur         LXVII

Bien connaissais d’officieux talents          XXVI

Bien m’y connais, et ne suis des plus bêtes         CLXV

Ce bouquet est des jardins de Cythère            CXI

Celui qui grava sur ce sable       XCVIII

Ce n’est que pour nous seuls que mon vin moussera             XC

Cependant que l’on examine       CLXIX

Cernis ut invisae coeant in Fœdera Gentes          LXIII

Ces fleurs s’en vont trouver l’objet charmant             CX

Ces jours passés le pauvre Houdart      CLXXII

Ce soir, lorsque la Nuit, aux amants favorable  LXXXVIII

Cessez d’affecter un langage            XIII

C’est dans le palais de l’Amour          LXXI

616

Cher ami, vois dans mon verre         CXLII

Chère sœur, Princesse aimable           XLV

Ci-gît, qui, dépourvu de riche apanage      CXXIII

Commençons, mes amis, à boire     CLXXX

Comment répondre à la sœur d’Apollon    CXXXIX

Confidentes de mes pensées         XCIX

Dans ces tranquilles lieux que l’affreuse misère           CXL

Dans cette peinture charmante           XIX

Dans notre château de Saint-Maur          CXLI

De cettui preux qu’a prédit et chanté         CXVI

Depuis six ans sans cesse je publie        CLXX

Depuis un temps suis en possession         CVIII

Désert, aimable solitude              VI

De Vénus aux belles fesses              CL

Dieux ! quelle étrangère flamme       CLXVI

Dieux ! qu’une dixième Muse    CLXXVI

Dispense moi de te faire un bouquet           CLII

Élève que j’ai fait en la loi d’Épicure              LV

Elle est vive, elle est charmante          CLIX

En fait d’amour, sans trop cuider de moi       CXXIV

En jugement vous remportez le prix     CXXXV

Est-ce Saint-Aulaire, ou Tourreil      CLXVII

Et puis on lit, près de la Sacristie          XXII

Excuse, grand Nevers, la lenteur de ma veine              IX

Faire un bouquet peut être chose aisée          CXII

Feu Monsieur votre Frère et vous CLXXXIII

Grand Nevers          XXIV

Gouverneur de ces beaux climats          XLVII

Hélas ! était-elle endormie      CXLVIII

Ici, malgré l’ennui que cause votre absence            LXV

Il est au monde une aveugle Déesse    CLXXXI

Il est jeune, il est aimable    LXXXIX

617

Il n’en est plus, Thémire, de ces cœurs    CLXXIX

Iris fut le premier nom      CLXXV

Iris, ne croyez pas qu’une flamme nouvelle          CLVI

J’ai fait cent tours sous mon portique          XLIV

J’ai fait pour vous deux beaux bouquets          CXV

J’ai vu de près le Styx, j’ai vu les Euménides                  I

J’ai vu, du paisible rivage                X

J’attends avec transport cet objet gracieux        CLXII

J’attends Iris, et ses rigueurs        CXXX

J’avais suspendu ma lyre            LVII

Je célèbre ta victoire            CIV

Je dois ce soir voir une belle        LXXX

Je goûte, en te voyant, mille et mille plaisirs          CLXI

Je goûte loin de vous, en de paisibles lieux        LXXIV

Je jouis du plaisir de te voir quand je veux     LXXXIV

Je louais mon Iris, et mon cœur prévenu     LXXXVI

Je m’étais seulement flatté              XII

Je n’accepte pas encore CLXXXVII

Je ne suis occupé que du soin de vous plaire          XCVI

Je sais que partisan d’une austère sagesse              VII

Je sers, grâce à l’Amour, une aimable maîtresse      LXXXII

Je vous trouve fort aimable            CIII

Juge, qui te déplaces      CXLVII

La divine Bouillon, cette adorable sœur              XV

La Fare me disait un jour tout en colère          XCIV

La Fare n’est donc plus ! La Parque impitoyable            LIX

La Fare y conduira, sous le nom de Comus        XXIX

La foule de Paris à présent m’importune                V

L’Amour, partant de Cythère          LXVI

L’Amour, se dérobant aux charmes du sommeil  CXXXVII

L… qui souverainement             CV

Le beau duc de Foix nous réveille        XXXI

Le bon vieillard qui brûla pour Bathylle   CLXXVII

Le Ciel, en formant un cœur           CLX

Lecteur, sans vouloir t’expliquer    CLXVIII

618

Le destructeur impitoyable              IV

Le premier jour du mois de mai     CLXXIV

Le Respect est de glace, et l’Amour est de flamme           CLIV

Le Rhône, sur ses bords, vit naître une pucelle          CXXI

Le serin, belle Iris, que tu tenais en cage          CLVII

Le silence et la paix règnent dans ce bocage           XCV

Loin de la foule et du bruit              XX

Loin de la route ordinaire             XLI

Maître en rondeaux était le bon Clément    CXXXIV

Messieurs, vous aurez La Loubère        CXLIX

Mon Iris m’est toujours fidèle        LXXVI

Mon Iris avec moi vient passer la soirée  LXXXVII

Naguère avais, dans un accès de goutte             CVI

N’a pas longtemps qu’avisai Madelon     CXXXII

Nature, enseigne-moi par quel bizarre effort           CXC

Nectar, qu’on avale à longs traits           XLII

Ne sortons pas encore        XXXII

N’était-ce point assez de quatre jours d’absence                 C

Ne vous attendez nullement  CLXXXVI

Non, je ne verrai plus Sylvie    CXXXIII

Notre féal et bien amé Cochon        CLXXI

Nous vous devons un compliment     XXXVII

Oh la belle approbation     CLXXIII

Ô Muse, en ces moments, où, libre à cette table        CLXIV

Oncques ne fut amant tant soit chéri             CIX

On dit que Monsieur…        CXLIV

Or à cette solennité  CXXXVIII

Or maintenant, en ce grand changement           XLIII

Ô toi, qui de mon âme es la chère moitié              XL

Oui, je vous attendais, vous me l’aviez promis       CXXIX

Ô vous, dont la beauté fit naître             XCI

Pendant le temps que je vous ai servie        CXLIII

Phœbe, nihil toto spectabis amœnius orbe             LXI

Phyllis, en baisant un moineau          CXLV

619

Plus j’approche du terme, et moins je le redoute               II

Plus n’est le temps que l’Amour me faisait        CXIII

Plus promptement que ne fait Melpomène     CXVIII

Point n’avez l’art de parler sans rien dire     XXVIII

Pour des rondeaux, chant-royal et ballade           XIV

Pourquoi chercher si loin quel est ce feu nouveau               L

Pour recevoir écrits si gracieux        XXIII

Pour un Vaticinateur     XXXIII

Prés, coteaux, aimables fontaines      LXXV

Près de Sceaux, sur la fin du jour   XXXIX

Princesse, dont la patience      CXVII

Princesse, en qui l’art de plaire            III

Quand d’une sainte ardeur notre âme est enflammée              CI

Quand je regarde ma bergère      CXXV

Quand verrai-je ma pauvreté          XVI

Qu’avec plaisir du Parnasse    XXXIV

Que ce réduit est agréable        XXX

Que de chagrins, de tourments et d’alarmes        LXIX

Que j’aime ta noble audace        CXX

Quel éclair perce la nue            LVI

Quel est cet homme admirable      XLVIII

Quelque faveur que l’on me fasse            XI

Quelques nourrissons du Parnasse CXXXVI

Que pour sa fête on porte à ma Catin            CLI

Quid frustra tumidas Rhenus pater objicit undas        LXIV

Qu’il aime dès demain, qui n’a jamais aimé   LXXVIII

Qui veut parler d’amour à ma Catin          CVII

Quoi donc ! quand je veux écrire         LVIII

Quoique nos docteurs puissent dire     LXXIX

Reçois mes fruits, qu’avec toi je partage      XXVII

Retirez-vous de moi, Plaisirs tumultueux CLXXVIII

Seigneur châtelain, la manière        XLIX

Séjour délicieux, Retraite consacrée      LXXIII

Semblable à cette parole      XXXV

Si l’on m’écrivait que l’Amour        CXIX

620

Sitôt qu’Iris sut me toucher        CXXVII

Si vos yeux ont eu le pouvoir        XXXVI

Si vous et moi même Dictionnaire          CLVIII

Source intarissable d’erreurs              VIII

Sous le doux nom d’amitié je t’ai fait            CXIV

Sta quisquis es                LX

Théone, à qui les Dieux donnèrent      LXXXIII

Théone, tu voulais à la simple amitié        LXXXI

Tircis, que l’avenir trouble moins tes beaux jours      CLXXXII

Tircis toujours fidèle et toujours malheureux          LXVIII

Toi, dont le teint fleuri, respecté des années              LIV

Toi qui, né philosophe au milieu des grandeurs              LIII

Tôt tôt, tôt tôt, tôt tôt            XVII

Tu fuis loin de moi, Ricanette        CXXXI

Tu vois trop mon rival, et tu me vois trop peu            XCIII

Un Aveugle au matin vous remit en mémoire              CLV

Un Cordelier en grand’ dévotion  CLXXXVIII

Un doux penchant toujours vers vous m’entraîne                CII

Vendôme, malgré moi, je cède aux doux transports      XXXVIII

Venez me voir ; l’Amitié vous engage              XCII

Vénus vous a donné depuis peu sa ceinture                LII

Veuille le Ciel, de la jeune Climène            CLIII

Veux-tu savoir d’où vient qu’aujourd’hui
tant me coûte   CLXXXIX

Viens ce soir, viens jouir du pouvoir de charmer          LXXII

Voilà certaine centurie      CLXXXV

Voit-on les Grâces enrhumées            XLVI

Votre absence me cause un plus cruel martyre          CLXIII

Vous avez gagné le cœur        LXXXV

Vous êtes fille de l’Amour      CXXVIII

Vous m’avez dégoûté de tout ce qui peut plaire          XCVII

Vous savez trop payer qui vous fait quelque bien    CLXXXIV

621

LA FARE

Allez, mes vers, allez trouver Sylvie        XLVI

Âme de toute la Nature        XXII

Au fond d’un bois, au bord d’une fontaine              LI

Au temps jadis une jeune beauté        XLIII

Au tour naïf, à la simplicité      XXXI

Autrefois la raillerie            XV

Avant qu’Iris sût mon amour extrême          XLV

Avec des traits divins aux mortels inconnus          XLI

Chez Saturne au premier âge    XXXIV

Ci-gît le destructeur d’un pouvoir légitime XXXVIII

Consumé d’une ardeur qui ne se peut éteindre          LIV

Dans les siècles passés, quand l’amoureuse flamme              X

Dans les Temps fortunés de l’enfance du Monde      LXVIII

De l’homme voici la chimère        XVII

De quelques vers mal polis    XXVIII

Dès ma première jeunesse        LXXI

Des yeux vous faites le plaisir            LVI

De Vénus Uranie, en ma verte jeunesse        XVIII

Dieu des amours, Père des vrais plaisirs      XXXV

Du bord paisible où la Seine        LXIX

En vain je bois pour calmer mes alarmes            XX

Esprit et corps, tout m’afflige            IX

Faut-il, ne rimant qu’avec peine        XXVI

Heureux qui s’affranchit de cette crainte vaine        XXIII

Il est vrai ces immortelles      XXIX

Il est vrai, je suis pas à pas            LII

J’avais voulu profiter de l’absence              L

622

Je n’espérais jamais que, sensible à ma flamme  XLII

Je ne me connais plus, moi dont l’âme tranquille  XXVII

Je ne vous vois que rarement  XLVIII

La Beauté, la Jeunesse et les Grâces un jour    XXXII

La Fortune a ses injustices      LVIII

La Fortune de tout temps          LX

L’Amour sait surmonter les plus puissants obstacles      XXX

Lieux qui le trentième été          VI

Loin d’ici, beautés mortelles          III

Lorsque livrés tous deux à notre ardeur extrême          LV

M’abandonnant à la tristesse        XIX

Muse, douce enchanteresse      LXIII

Muse, qui daignant me sourire          VII

Non, non, les yeux de Cythérée        VIII

Oui le délicat assemblage    LXVII

Oncques ne vis un si poli goutteux        XIV

Où sont, hélas ! ces trop courtes journées      XLIX

Par qui, comment, dans mon esprit      XXV

Plus on observe ces retraites              I

Pour avoir secoué le joug de quelque vice            II

Présents de la seule Nature        XXI

Princesse, trouvez-vous quelque chose d’étrange XXXVII

Puissant et premier Génie          IV

Qu’Amour et Bacchus        LIX

Quand j’entendis celle que j’aimais tant        XIII

Quand les enfants de la Terre        LXV

Que le précieux moment        LXX

Quel spectacle nouveau tient mon âme enchantée      XXIV

Reçois avec plaisir l’épître          XI

Si les vers qu’inspire Apollon      LXVI

623

Souvenir des plaisirs de mes jeunes années        LXII

Tant qu’a duré la cruelle rigueur      XLVII

Tourmenté des vapeurs de la mélancolie        LXI

Tout aime en ce mois        LVII

Tout ce qui peut rendre estimable      XLIV

Un courrier monté sur Pégase        XVI

Un nouveau feu vient d’allumer mes sens          XL

Un regard enchanteur, une bouche animée XXXIX

Vendôme, j’avais cru que l’éclat de ta vie      LXIV

Venez échauffer ma veine            V

Vous avez joint à toutes les beautés  XXXIII

Vous fîtes hier quelque chose d’étrange  XXXVI

Vous insultez, maître fripon          XII

Vos heures qu’Amour a formées        LIII

1 Les chiffres romains renvoient au numéro de la pièce.