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Classiques Garnier

Table des incipit

  • Type de publication : Chapitre d’ouvrage
  • Ouvrage : Poésies
  • Pages : 547 à 551
  • Collection : Bibliothèque du xviie siècle, n° 6
  • Série : Voix poétiques, n° 1
  • Thème CLIL : 3439 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques -- Moderne (<1799)
  • EAN : 9782812440670
  • ISBN : 978-2-8124-4067-0
  • ISSN : 2258-0158
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-8124-4067-0.p.0547
  • Éditeur : Classiques Garnier
  • Mise en ligne : 15/02/2011
  • Langue : Français
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Table des incipit

La marque (n) signale des pièces d’autres auteurs composées en réponse à la poétesse ; la marque (d), les pièces d’attribution douteuse.

À Caution tous Amants sont sujets, XXV

À caution tous Hommes sont sujets (n), XXXVI

À Caution tous ne sont pas sujets (n), XXVI

Agréable prairie, où j’aime à m’arrêter, CXCV

Agréables transports qu’un tendre amour inspire, LV

Ah ! pourquoi me disiez-vous, LXII

Ah ! que je sens d’inquiétude, VII

Ah, Seigneur, pour Louis ne nous alarme plus, LVII 

Aimables habitants de ce naissant feuillage, XCV

À la Cour, LXIV

Alcandre ce Héros charmant, CIV

Alcidon contre sa Bergère, L

Ami ferme et fidèle, unique et sûr asile, CVIII

Ami, puisqu’une loi fatale (d), CCIV

Amoureux Rossignol, de qui la voix chatouille, LXXVIII

Après que tous les Éléments, CXXIX

Assise au bord de la Seine, XV

À Tous chagrins les Maris sont sujets (n), XXXVIII

Attendant l’autre jour une tendre aventure (n), CLVI

Ce métal précieux, cette fatale …pluie, IX

Ces marques adorable brune, CLXXIII

C’est prendre assez bien ses mesures, CLIX

Charmante et paisible retraite, XCI

Coiffé d’un vilain bonnet gras, CXVIII

Comment osez-vous me conter, CXLIX

Contre l’Amour, voulez-vous vous défendre, XIV 

Crains tout de ton ami, crains tout de ta maîtresse (d), CLXVIII

Damon que vous êtes peu tendre, LXXIII 

Dans ce Hameau je vois de toutes parts, XXIII

Dans ces bois, dont l’affreuse paix, CCI

Dans ces prés fleuris, CXXVI

Dans les vastes jardins de ce charmant Palais, LXX

Dans un bois sombre et solitaire, CXXII

Dans un charmant désert, où les jeunes Zéphyrs, C

Dans une liste triomphante, CXCIX

548

Dans un fauteuil doré, Phédre, tremblante et blême, CLXIV

Daphnis, le beau Daphnis l’honneur de ces Hameaux, CXLI

De ces lieux fortunés qu’est-ce qui vous rappelle, CLXXXV

De ma Maîtresse aujourd’hui, CLVII

Déesse en volupté féconde, CLXXXI

De l’épître de Deshoulières (d), CXC

Des sacrés bords que le Permesse arrose, CLXXXVII

Dieux ! qu’est-ce que je sens d’inquiet et de tendre, XCIII 

D’où vient Damon que la Nature, CXXXVII

Doux transports, trouble dangereux, XCIX

Du charmant Berger que j’adore, XIII

Duc plus vaillant que les fiers Paladins, XXVII

Eh quoi, Grisette, a-t-on pu croire (n), CLVIII

Entre deux draps de toile belle et bonne, CXIII

Est-ce donc là l’impression (n), CLX

Fameux Auteur, de tous auteurs le Coq, XLVII

Favori des Neuf Sœurs, tu sais plaire omnibus, LIV

Femme d’un Dieu qui n’est pas beau, LXXVII

Fille des plaisirs, triste Goutte, CXIX

Fille du Ciel, aimable Paix, LXXXIX

Fleur de vingt ans tient lieu de toute chose, LXXXIII

Fuyons ce désert enchanteur, CLXXXII

Généreux Licidas, Ami sage et fidèle, VI

Grisette, avec raison je suis charmé de vous (n), CLIV

Grisette enfin je vois qu’en t’écrivant (n), CLXII

Grisette, savez-vous qui vous parle d’amour (n), CLI

Grisette, vous faites du bruit (n), CLII

Ha ! Que chez le Colonel Stoup, CLXXIV

Hé bien, quel noir chagrin vous occupe aujourd’hui, LIII

Hélas, petits Moutons, que vous êtes heureux, XVIII

Hélas, Seigneur, quel est l’effet, LX

Hé ! que te sert, Amour, de me lancer des traits, CLXXXIX

Héros dont les faits éclatants, CXXXV

Héros qui seul renferme en toi, CXLVII

Homme, contre la mort quoi que l’art te promette, CXLII

Il est aujourd’hui votre Fête, CXXIII

Il est saison de causer près du feu, X

Il est temps de nous alarmer, CXII

Illustre protecteur des Filles de mémoire, VIII

Il ne vous plait donc plus de mettre, LXI

Imitant de vos vers les accords ravissants (n), LXXIX

Iris, quelle erreur est la vôtre, CLXXXVIII 

Iris sur la fougère, CXCI

Jamais chien n’eut tant de savoir, CLXIII

J’apprends de tous côtés que malgré le destin, IV

549

J’ai perdu ce que j’aime, et je respire encore, CLXXXIII

J’ai reçu votre Compliment, CXLVIII

Je croyais ce matin ne vous aimer plus, Madame (prose et vers), CCII

Je croyais que la colère, LI

J’en demeure d’accord, charmante Des-Houlières (n), XXXIII

Je ne puis m’empêcher de faire la peinture, I

Je ne saurais m’en empêcher, CXVII

Je ne saurais passer un jour, XIX

Je ne tournerai point ma cervelle à l’envers, CLIII

Je ne veux point vous en conter, CL 

J’étais au comble du bonheur, CLXIX

Je trouve dans tes vers un son qui me chatouille (n), LXXX

Je vous avertis qu’Amour, CLXXV

La campagne a perdu les fleurs qui l’embellissent, CXXV

La chimère que vous blâmez (n), CXXXVIII

L’Air n’est plus obscurci par des brouillards épais, LVI

La divine Uranie en tous lieux estimée (n), XLVIII

La fierté m’est un faible appui, CXCVIII

L’Aimable Printemps fait naître, XCVII

La jeune Iris en me donnant à vous, CLXXVIII

L’Amour pressé d’une douleur amère, XVI

La savante Chéron par son divin pinceau, CXXXI

La Terre fatiguée, impuissante, inutile, XL

Le bel Esprit, au siècle de Marot, XLVI

Le cœur tout déchiré par un secret martyre, XX

Le croiras-tu, Louis ? à ta gloire attentive, XXXIX

Le Dieu couronné de pavots, XCIV

L’Erreur féconde en attentats, LII

Les ombres blanchissaient et la naissante aurore, CLXXII

Lettres en chansons sont à la mode, CLXXVI

L’Hiver suivi des vents, des frimats, des orages, LXXXVI

Livrons nos cœurs aux tendres mouvements, CXCVI

Loin de remplir ici d’ennuyeux compliments, V

Lors que j’abandonne pour vous, CLV

Los immortel que par fait héroïque, XXIX

Louis que vous imitez bien, CXXVIII

Moi qui viens de chanter Achille (n), CLXVI

Mon âme louons le Seigneur, CXXXIV

Montausier dont le cœur ferme, grand, et sincère, XXIV

Ministre de Thémis dont la rare prudence, CVI

N’avoir que de l’indifférence, CLXXI

Ne pourrais-je donc point connaître, CII

Ne pourra-t-on vous contraindre, XLII

Non, charmante Iris, dans ma Lettre, CXXVII

Non, il n’est point de Dieu. Ses foudres redoutables, CXXXIII

Ô L’heureux temps, où les fiers Paladins (n), XXVIII

550

On aurait bien connu sans que vous l’eussiez dit, CLXI

On connaît peu l’amour lors qu’on ose assurer, LXXXV

On dit que je ne suis pas Bête, CXIV

On n’a qu’à me trouver quelque Berger fidèle, CXCIV

On voit par le Recueil qu’il vient de mettre au jour, CC

Ores est temps de vous donner conseil, LXXIV

Oui, je l’ai dit sans hyperbole (n), XXXI

Par Apollon savant joueur de poche, LXXII

Partez, jeune Héros, partez, CXXIV

Percé jusques au fond du cœur, CXCII

Peuples, qui gémissez au pied de nos Autels, LIX

Plaise au grand Protecteur des belles, CLXX

Plus d’un bel esprit murmure, CXLVI

Point ne fais cas de ces fiers Paladins (n), XXXVII

Pour bien aimer, pour mériter de plaire, CLXXVII

Pour chanter un Héros quittons le …flageolet, XXI

Pour imiter votre Patron, CX

Pour l’État votre temps est un bien précieux, CXLIV

Pourquoi chercher une nouvelle gloire, XI 

Pourquoi me reprocher, Silvandre, LXXXVII

Pour vous marquer mon courroux, III

Près d’un Amant heureux c’est en vain qu’on espère, CXCVII

Présent des Dieux, doux charme des humains (d), CCIII

Preux Chevalier, sage et de bon aloi, LXIII

Proche des bords de Lignon, XLIII

Puisqu’auprès de vos Vers tous les autres sont fades (n), XXX

Puisque vous le voulez, je vais faire l’image, II

Quand de mes intérêts vous voulez vous charger, CIX

Quand on dit d’or, n’eût-on, j’ose le dire, CLXXX

Quand vous me cédez la Victoire, XXXII

Quand vous me pressez de chanter, XVII

Que la fin d’une tendre ardeur, LXXI

Quel espoir vous séduit ? Quelle gloire vous tente, XXII 

Que l’homme connaît peu la mort qu’il appréhende, LVIII

Quelle Musette, ou quel tendre Pipeau (n), XXXV

Quelqu’un qui n’est pas votre Époux, CXXI

Quel sort au mien est comparable, CLXXXIV 

Quel spectacle offre à ma vue, LXXXII

Qu’entends-je, quel bruit, qui m’appelle, CLXXXVI

Qu’est devenu cet heureux temps, XCII

Que tu reviens diligemment, CV

Que votre éclat est peu durable, XLV

Que vous me donneriez de mortelles alarmes, CXXXVI

Qu’il fait beau faire voyage, LXVIII

Revenez charmante verdure, LXXXI

Ruisseau, nous paraissons avoir un même sort, LXIX

551

Sans dégainer et sans monter Moreau, LXV

Sans me plaindre de la Nature, CXXX

Si le public à l’aventure, CLXVII

Si l’on ne m’emploie pas, CLXV

Si ma voix avait les doux sons, LXXVI

Songez-vous à ce que vous faites, XLIX

Sous ces ombrages verts, où sans autres témoins, CXLV

Sous le débris de vos attraits, CXX

Soyons toujours inexorable, XLI

Suivi des Rossignols, des Zephyrs, des Amours, CXVI

Supportez un peu mieux Silvie, CXL

Sur le bord d’un ruisseau paisible, CXI

Sur vos Lettres, sur vos Discours, CIII

Taisez-vous tendres mouvements, XLIV

Tandis que vous êtes belles, CVII

Tombeau, dont la vue empoisonne, CXLIII

Toi chez qui la raison devance les années, CXV

Toi dont la piété, la vertu, la sagesse, LXVI

Toi, par qui les Mortels rendent leurs noms célèbres, LXXXVIII

Toi qui depuis que du chaos, LXXV

Triomphez, aimable Printemps, XC

Tyran dont tout se plaint, Tyran que tout adore, XII

Une bourse dans ce temps-ci, CI

Un illustre et galant berger, CLXXIX

Venez, petits oiseaux, c’est moi qui vous appelle, CXCIII

Vers les bords d’un ruisseau dont l’onde vive et pure, LXVII

Votre bonne foi m’épouvante, XCVI

Vous dites que l’amour vous range sous sa loi, LXXXIV

Vous du vaste Univers et l’auteur et le maître, CXXXII

Vous que Neptune a vu cent fois, XCVIII

Vous qui couronnez des rameaux toujours verts, CXXXIX

Vous remettez la Ballade en honneur (n), XXXIV