Résumé : En écho à des pratiques observables dans ses autres œuvres, Boaistuau recourt, pour présenter ses Histoires tragiques, à un ensemble d’affirmations qui entretiennent la confusion dans l’esprit du lecteur, quand il ne s’agit pas de mensonges patents. Ce dispositif de mystification lui permet de dégager un espace d’invention pour cette forme nouvelle en la situant à mi-chemin entre la traduction et l’écriture, entre l’histoire et la fiction et en convertissant la novella en « histoire ».