Résumé : Cet article propose une étude comparée des deux textes de Boaistuau que sont Le Théâtre du monde et le Bref Discours ; il en envisage les contradictions en faisant le pari de lire ces deux textes comme un diptyque qui s’inscrirait dans le genre de la declamatio tel qu’en hérite la Renaissance et tel qu’elle le transforme. Cette perspective nous conduit à envisager ces textes selon une triple approche, rhétorique, théologique et philosophique.