Résumé : Ce qui est considéré ici, c’est l’insertion de petits groupes de catholiques réfractaires dans l’histoire de l’implantation du christianisme au Japon, et, du point de vue de l’anthropologie religieuse, la permanence sur le long terme de pratiques rituelles profondément ancrées dans la mémoire culturelle de la persécution organisée par l’État japonais.