Résumé : Porte-parole des milieux réactionnaires allergiques aux nouvelles idées mercantilistes, Villalba réfute ici les thèses « bourgeoises » de la réforme de l’assistance promue par le docteur Cristóbal Pérez de Herrera dans son Amparo de pobres (Madrid, 1598). Forte d’une centaine de pages, cette réfutation prouve à elle seule que la réforme incriminée était alors loin de paraître anodine.