Résumé : Prédominante dans le lexique et polysémique, la pauvreté inspire le style et la structure des contes où, suivant généralement un même schéma, un héros enfant passe de l’humilité à la gloire, écho à la dévotion à l’Enfant Jésus dont Perrault était adepte. Fénelon, adepte de la même dévotion liée à sa mystique, renverse pourtant ce schéma par intention pédagogique dans les contes qu’il écrit pour le duc de Bourgogne.