Résumé : Dans La pícara Justina de Francisco López de Úbeda (1605), l’héroïne, Justina, se déguise en mendiante honteuse (envergonzante), se poste devant le portail d’une église, exerce la charité publique pour pouvoir s’acheter un bijou en or. Dans le Guzmán apocryphe de Luján de Sayavedra (1602), Micer Morcón, le chef des mendiants et un ermite défendent des conceptions opposées de l’exercice de la mendicité. Aucune des deux œuvres ne semble promouvoir une réforme en profondeur de l’assistance publique.