Abstract: Souvent reprise, y compris par de grands économistes, la phrase qui ouvre la première « journée » du Soulier, « la scène de ce drame est le monde », s’impose au début de la réflexion engagée dans ce volume. Pour Claudel, le « tout-monde » (Édouard Glissant) est inséparable du catholicisme et, devant le Japonais Daibutsu, Don Rodrigue définit sa vocation comme celle d’un « homme catholique » qui ne peut tolérer qu’une partie du monde « vive dans l’hérésie ».