Résumé : Cet article examine la réception de la figure de Claudel par certains de ses contemporains japonais. Pour Omi Komaki, socialiste, père de la littérature prolétarienne, il avait été « représentant du bourgeois français ». Mais la conférence sur Charles-Louis Philippe lui a fait découvrir la véritable valeur de Claudel, poète ouvert à l’universalité, qui écrit à la place du peuple.