Résumé : La traduction devient le lieu par excellence de déploiement du « bon style ». Loin d’être un simple « blanchisseur de murailles », le translateur n’ayant pas à s’enquérir de la matière, se concentre dès lors entièrement sur la transposition stylistique. Un style qui cherche à mettre en lumière l’excellence de la langue française mais également la supériorité du peuple français tant d’un point de vue intellectuel que politique. Mais comment ce « bon style » était-il défini ?