Résumé : L’article met en évidence une réévaluation progressive des notions de douceur et de dureté stylistiques dans quelques traités de grammaire et de rhétorique autour de 1550 et la met en relation avec la réflexion à cette époque sur la propriété de la langue française, sur le style idéal en français et sur sa nécessaire adéquation à la diversité des genres et des situations de communication modernes.