Résumé : L’étude des littératures anciennes est tributaire de l’histoire de leur conservation. Or, la transmission d’une génération à l’autre des éditions originales imprimées du xvie siècle a été plutôt aléatoire. Comme cet article le montre, elle s’est faite plutôt par les collections privées, ce qui explique aujourd’hui leur dispersion et leur grande rareté, ainsi que les lacunes possibles dans le corpus.