Résumé : En tant que textes-satellites du grand chant courtois, les jeux-partis comportent, comme on l’a souvent remarqué, une intention ludique, une dimension d’auto-dérision des conventions éthiques, thématiques et stylistiques strictement conventionnelles ou orthodoxes. L’article propose une analyse de deux jeux-partis (le noxiv et le nocxxxviii du Recueil général), en essayant de montrer quels sont les mécanismes parodiques employés dans ces deux textes.