Résumé : Bien que la parodie demeure cachée dans les deux œuvres, les poèmes ne présentent jamais une solution satisfaisante ou définitive. Malgré l’éloquence de l’Oiselet, le château et son verger demeurent en possession du paysan. C’est également en vain que le narrateur fictif s’exprime contre la Minne arbitraire, se montrant incapable de provoquer un quelconque changement. L’oiseau du poème en ancien français et le narrateur moyen haut-allemand sont liés par un engagement profond envers la culture courtoise.