Résumé : Après avoir présenté le projet anglo-italien concernant les réponses lyriques aux croisades dans la France et l’Occitanie médiévales, l’article analyse la pièce de Sordel, Lai al comte mon segnor voill pregar (BdT 437.18), comme réponse parodique à la croisade envisagée par Charles d’Anjou en 1248, en réexaminant l’importance de certains détails textuels négligés ou rejetés comme des erreurs de scribe par les éditeurs précédents.