Résumé : La mise en regard des romans de L’Escoufle et de Guillaume de Palerne dans le manuscrit de l’Arsenal 6565 exacerbe la dimension parodique de ces deux œuvres qui déclinent, en registre ludique mais chacune à leur façon, le motif de l’ensauvagement. Trace d’une appréhension conjointe de ces deux « romans de Guillaume » (Ferlampin-Acher), la miniature que l’on a pris soin d’insérer à leur jonction sert à rendre compte sur le plan visuel de leur rapport difficile, parce que non-passif, à la tradition littéraire.