Résumé : La sotte chanson réutilise les caractéristiques du Grand Chant ; ses relations avec les autres genres se jouent d’allusions implicites. Cet article étudie comment la sotte chanson utilise ces références contrastant avec sa forme classique, quel est leur rôle structurel, s’il s’y trouve des caractères propres à marquer une appartenance générique ou une émancipation des limites de la parodie. L’arrière-plan lyrique déterminera s’il faut parler de parodie courtoise ou de parodie de la courtoisie.