Résumé : Dans un article publié en 1984, Marc Ascione avait proposé de voir dans la rime terminale de « Venus Anadyomène » une plaisanterie jouant sur les deux sens d’anus en latin et sur ceux, également, de Venus / venus. Le présent article ajoute un exemple du premier jeu de mots dans un poème obscène de Théophile Gautier, dans un contexte également vénal et vénérien.