Résumé : Dans quelle mesure le repentir s’exprimant dans Une saison en enfer est-il sincère ou joué ? La réponse pieuse et sans nuance jadis apportée à cette question par Isabelle Rimbaud, secondée par Claudel, n’a pas tout perdu de son influence. Seule, une lecture de l’œuvre par l’ironie permet d’y échapper.