Résumé : Des scènes de supplice chez Baudelaire, Rimbaud et Corbière révisent le scénario idéaliste du pélican chez Musset. Rimbaud et Corbière repensent le modèle de L’Albatros, poème qui avait déjà un rapport avec « l’essence du rire »… comme la scène primitive qu’était La Nuit de mai. Dans Le Cœur supplicié de Rimbaud, le sadisme subi par l’albatros réapparaît dans des fresques ithyphalliques, évocation puissante mais obscure d’une agression sexuelle.