Résumé : Le présent article n’entend pas faire l’inventaire des influences rimbaldiennes, subies ou exercées. Il interroge la question de l’influence, si prégnante dans le discours critique du XIXe siècle, dans la manière dont le poète a pu se l’approprier pour situer son projet poétique, tel qu’il s’argumente dans les deux lettres dites « du voyant » (13 et 15 mai 1871, respectivement à G. Izambard et P. Demeny)
