Résumé : Deux poèmes de Rimbaud, « Mes petites amoureuses » (1871) et « Parade » (Illuminations) peuvent être lus au prisme de l’histoire des cabarets et des danses scandaleuses telles que la chahut, liée à l’hystérie et à ses corps démantelés. Deux contrepoints non verbaux pour articuler ces lectures : Chahut de Seurat (pour « Mes petites amoureuses ») et la théorie et pratique de la performance futuriste dans son rapport au cabaret (pour « Parade »).