Résumé : Cette contribution propose une lecture inédite du sonnet « Paris ». C’est l’ambiance gaillarde des réunions des zutistes parisiens qui forme l’horizon d’attente de cette « connerie » rimbaldienne. Le texte est une accumulation de noms propres aptes à présenter des connotations grivoises pour un public friand de calembours obscènes. Dès lors, la clé du poème se trouve dans les dictionnaires érotiques du dix-neuvième siècle qui révèlent le sens indécent des noms apparemment anodins.